Chaque activité commerciale et même chaque boutique au sein de chaque activité peut présenter des spécificités avérées ou supposées qui justifient des offres packagées pour tel ou tel métier. Ainsi l'Habillement avec la gestion des tailles/couleurs, le commerce de jouets avec références articles conséquentes, vont se distinguer des Fleuristes et de la Restauration dominés par d'autres considérations liées à leur produit périssable ou activité de service. On trouvera donc des éditeurs de logiciels de point de vente capables de se spécialiser sur un secteur en « verticalisant » leur offre.
«Les choses seraient simples si chacun de ces acteurs de l'informatisation des points de vente s'en tenait à son rôle initial »
Se pose ensuite la variable informatique : le logiciel de caisse peut-il être loué, hébergé, utilisé comme un service en mode Saas. Peut-il communiquer avec mon site marchand que je ferai développer ultérieurement ? Autant de questions qui trouveront autant de réponses et donc d'offres particulières sur le marché. Laissons de côté l'enfer des périphériques qui ajoute à la complexité en posant les questions de compatibilités entre les logiciels et le matériel.
Les commerçants sont généralement bien ancrés dans leur région d'origine, et vont privilégier la présence d'un fournisseur local. L'on peut ainsi trouver dans toutes nos provinces des acteurs locaux du logiciel de point de vente, éditeurs, revendeurs, intégrateurs, qui vivent modestement sur la base d'une clientèle régionale. Ces mêmes commerçants qui se lancent tous dans la mise en place de sites Internet, marchands ou non, oublient que la maintenance applicative peut se faire dorénavant à distance par … Internet. La contrainte géographique est dorénavant abolie grâce à la technologie et une PME de taille modeste comme JLR se doit de raisonner à l'échelle internationale en termes d'accompagnement de ses clients.
Les logiciels de caisse de magasin sont développés par des éditeurs, vendus par eux-mêmes ou des Revendeurs, installés par des Intégrateurs. Les choses seraient simples si chacun de ces acteurs de l'informatisation des points de vente s'en tenait à son rôle initial. Mais pour le meilleur et le pour le pire, les uns auront une offre trop large qui pose la question des coûts de développement et de maintenance, et donc à terme de la pérennité du logiciel de TPV ; d'autres forts de leur expérience de vendeurs de matériels informatiques vont se lancer dans l'activité logicielle sans véritablement la maîtriser. A l'arrivée le client final ne sait comment distinguer le bon vin de l'ivraie. Nous aurons l'occasion de revenir sur ce sujet en abordant le thème de la méthodologie.
]]>Afin d'offrir une expérience client fluide et efficace, il est essentiel de comprendre en détail le déroulement des étapes du parcours client et le rôle des différents points de contact à chaque étape. L'Experience Map ou Customer Journey, est un outil visuel représentant les interactions successives entre un client et une marque. L’outil permet de saisir les attentes du client à chaque étape de sonparcours, d'identifier les obstacles qu'il peut rencontrer, ainsi que les "moments clés" déterminants pour le succès ou l'échec de l'expérience. L’outil synthétise ce qui fonctionne bien ou pas dans l'expérience vécue par le client avec une marque. Ainsi, l’outil permet d’identifier les leviers de croissance, en mettant en lumière les moments du parcours client sur lesquels concentrer les efforts afin de créer une valeur maximale.
Pour élaborer une experiencemap, il est essentiel de s'appuyer sur des données concrètes issues du terrain. En effet, l'experience map a une vocation stratégique, servant de fondement à l'élaboration d'un plan d'actions. En l'absence de données réelles, il peut être tentant de construire une experiencemapbasée sur une vision interne du parcours client, parfois partielle voire erronée. Par conséquent, fonder l'experience map sur des hypothèses non validées par une étude approfondie des comportements réels des utilisateurs risque de conduire à des décisions inefficaces, voire à des résultats contraires à ceux escomptés.
La création de l'experience map représente une opportunité privilégiée pour recentrer l'attention sur les comportements des utilisateurs de la marque, en les rencontrant directement et en adoptant leur perspective.
Un persona incarne un ensemble de clients partageant des comportements et des attentes similaires, identifiés au cours de la phase de recherche utilisateur. Les divers personas d'une marque vont suivre des parcours d'achat distincts, traversant des étapes différentes et réagissant de manière variée aux mêmes stimuli. Il faut donc différencier soigneusement les parcours en fonction du profil du client et de l'objectif principal qui le guide. Tenter de représenter la diversité des parcours sur une seule experiencemapserait complexe, rendant sa lecture difficile et, par conséquent, son utilisation inefficace. En somme, il convient d'élaborer autant d'experience map que d’un persona.
Il est essentiel d'avoir une vision exhaustive de l'expérience client afin de pouvoir la perfectionner. Une expérience client réussie avec une marque ne se limite pas au moment de l'achat ; elle débute dès que l'utilisateur manifeste son intérêt pour le produit ou le service. De même, cette expérience client peut perdurer pendant des années, notamment lorsque le client a besoin de recourir au service après-vente. Pour garantir une expérience client globale positive, chaque étape doit l'être.
L'experience map représente l'expérience du point de vue de l'utilisateur, reflétant sa manière personnelle de la vivre. Elle peut englober des interactions sur lesquelles la marque n'a pas de contrôle, mais qui auront une incidence sur la suite de son parcours et sur sa décision d'avoir ou non besoin d'assistance.
Afin d'obtenir un outil opérationnel, utilisable et offrant rapidement des suggestions d'amélioration de l'expérience client d'une marque, il faut se représenter mentalement une idée claire des parcours clients. L'objectif est d'identifier le tronc commun, les comportements les plus caractéristiques représentant 90% des clients d'une marque, plutôt que de chercher à être exhaustif dans la représentation de la diversité des parcours marginaux. Il est essentiel d'accepter la réalité selon laquelle il est impossible de représenter à 100% la variété des parcours clients de l'ensemble des clients. Les coûts de recherche nécessaires pour comprendre les parcours marginaux des 10% restants dépasseraient les avantages potentiels de croissance découlant de ces enseignements.
Un parcours d'achat qui se termine en ligne peut avoir commencé en magasin, et inversement. Pour améliorer l'ensemble du parcours, il faut identifier précisément les points de vente et de comprendre les liens entre eux, afin d'éviter toute rupture dans l'expérience client. La phase de recherche en amont doit fournir des informations sur l'ensemble du parcours client, sans se limiter à un seul canal. Maintenir une vision omnicanale permet de saisir le contexte de chaque interaction en tenant compte de ce qui l'a précédée. Pour le client, son expérience avec une marque constitue une expérience globale. Dans le cas où il utilise plusieurs canaux de communication, il ne sépare pas l'expérience en ligne de l'expérience en magasin.
Incorporer les émotions éprouvées par l'utilisateur à chaque phase de son parcours client favorise l'empathie et permet de repérer instantanément les moments actuellement positifs (à maintenir) ou moins favorables (nécessitant une action prioritaire). L'ajout de verbatims contribue à illustrer ces émotions et à améliorer la compréhension de la perception de l'utilisateur.
Chaque parcours comprend des "moments de vérité", des interactions qui exercent un impact plus important que d'autres sur l'ensemble de l'expérience. Ce sont les instants où la marque a la plus grande opportunité d'influencer la décision de l'utilisateur, son opinion et ses actions. Ces moments déterminent si l'utilisateur partira finalement satisfait (et potentiellement fidèle) ou déçu (et réticent à réessayer l'expérience). Il est essentiel d'identifier ces moments spécifiques pour pouvoir les améliorer de manière particulière. En les rendant mémorables, ils contribueront à ce que le client se souvienne de cette expérience plutôt que de celle d'une marque concurrente.
Si l'experience map révèle que certains de ces moments sont actuellement sources d'insatisfaction, ils devraient être les premiers sur lesquels agir.
Certains comportements sont complexes à évaluer uniquement avec des données qualitatives. Il est donc recommandé d'associer ces insights à des données quantitatives et à des données de marché. En effet, la mise en œuvre de plans d'action basés sur les conclusions d'une experiencemap peut entraîner des coûts substantiels. Il est judicieux de confirmer les éléments observés sur le terrain avec des données chiffrées, ce qui permet également d'arbitrer sur la priorité des initiatives à mettre en place.
En somme, mettre en place un parcours client est complexe mais à la fois important pour tout retailer. Un bon parcours client passe également par une bonne caisse enregistreuse, Clictill qui dispose de nombreuses fonctionnalités.
L'inventaire représente une démarche visant à évaluer le bilan des marchandises d'un magasin. En tant qu'étape importante dans l’activité d'un magasin, elle revêt également une importance majeure sur le plan juridique dans le cadre de la gestion d'entreprise. Ce processus se divise en plusieurs phases :
Préparation ;
Identification ;
Méthodologie ;
Double comptage ;
Finalisation.
La préparation d'un inventaire s'avère être une tâche complexe et laborieuse, bien que fondamentale. Cette étape permet de vérifier la précision des stocks et de faire le point sur les besoins en approvisionnement.
Il est essentiel de définir un calendrier précis pour cette opération. La réalisation du bilan avec un expert-comptable peut varier en durée selon la taille du projet et l'expérience des intervenants. Il est donc recommandé de fixer une date avant le début du mois en cours pour que les résultats soient disponibles à la fin du mois suivant, en tenant compte des commandes nécessaires.
La période d’activité :
Privilégier une période de faible activité pour minimiser les perturbations de l'activité commerciale.
Éviter les périodes de forte affluence, telles que les soldes, les fêtes de fin d'année ou les vacances scolaires.
Tenir compte des variations saisonnières de votre activité.
Les aspects logistiques :
Choisir un jour où les stockssontà leur niveau le plus bas pour faciliter le comptage.
Organiser la réception et l'expédition des marchandises en dehors des heures d'inventaire.
Prévoir un espace de stockage suffisant pour les produits en cours d'inventaire.
L'inventaire est une opération collective impliquant au moins un gérant de magasin et un ou plusieurs assistants. Dans le plan d'inventaire, il est important de spécifier quels employés seront nécessaires pour mener à bien cette tâche. Il peut être nécessaire d'impliquer le chef d'entreprise ou un autre responsable pour superviser le travail, mais il est facile de choisir des employés qualifiés bien versés dans l'activité et/ou le magasin.
Comment déterminer les ressources nécessaires ?
Assurez-vous de disposer du personnel suffisant pour effectuer l'inventaire.
Prendre en compte les compétences et l'expérience des équipes mobilisées.
Externaliser certaines tâches si nécessaire. Vous pouvez par exemple faire appel à des boîtes d’interim.
Il existe différentes méthodes pour réaliser un inventaire, notamment manuellement (en cas de faibles volumes de stocks), avec un lecteur de codes-barres, ou à l'aide d'un appareil (de plus en plus courant). Pour faciliter la tâche, il est essentiel de former les employés à la méthode choisie et aux outils nécessaires pour assurer le bon déroulement du processus. Il faut donc que tous comprennent les techniques à mettre en œuvre et les règles de gestion à appliquer pendant cette période.
Geler les stocks consiste à suspendre tous les mouvements de stocks avant l'inventaire pour éviter les erreurs liées aux mouvements de marchandises lors de la comptabilisation. L'objectif est de clarifier les stocks avant leur saisie dans le logiciel SAP.
Solution la plus simple et la plus précise, mais elle peut être coûteuse pour le magasin.
Nécessite de communiquer en amont avec les clients et les partenaires.
Limiter l'impact sur l'activité commerciale en fermant uniquement une partie du magasin.
Nécessite de mettre en place un système de gestion des flux de clients.
Interdire les entrées et les sorties de stocks pendant la durée de l'inventaire.
Possible avec un logiciel de gestion des stocks.
Réaliser l'inventaire par zone ou par catégorie de produits sur plusieurs jours.
Permet de minimiser les perturbations de l'activité.
Suivre les mouvements de stocks en temps réel.
Évite le gel des stocks, mais nécessite un investissement initial important.
Il est maintenant essentiel de mettre de l'ordre dans le point de vente pour que chacun puisse retrouver sa place et savoir où ranger les articles hors des rayons.
Structurer les produits
Vérifier les étiquetages
Nettoyer la zone d'entrepôt/magasin
Ensuite, chaque zone peut être balisée avec un numéro noté sur une feuille de papier ou tout autre support.
La première étape consiste à définir et à dessiner la zone de comptage, puis à planifier les paramètres tels que le numéro d'identification d'un article et son poids. On peut également inclure des références aux dimensions du produit ou à sa couleur.
Une fois que la zone est délimitée, il est nécessaire de prévoir les outils nécessaires pour effectuer le comptage. En plus des outils classiques tels que les blocs-notes, les douchettes et le scotch, d'autres outils peuvent être utilisés pour simplifier l'inventaire, comme des caméras facilitant la localisation des articles ou des capteurs de proximité pour détecter les objets présents dans l'ensemble du stockage.
Lecteurs de codes-barres : permettent de scanner rapidement les produits et d'enregistrer les données automatiquement.
Scanners : permettent de capturer les informations des codes-barres et des étiquettes RFID.
Terminaux portables : permettent de saisir les données de manière mobile et de les synchroniser avec un système central.
Fiches de stock : permettent de noter les informations relatives à chaque produit (référence, quantité, etc.).
Feuilles de saisie des données : permettent de consigner les données collectées pendant l'inventaire.
Pour mener à bien votre inventaire magasin, il faut choisir le bon logiciel de caisse.
Faites le choix du bon logiciel de caisse en choisissant Clictill. (logiciel de caisse en mode SaaS)
En 2019, 94% des voyageurs dans les aéroports ont visité au moins une boutique.Le terme TravelRetail fait référence aux activités commerciales associées à un client en situation de voyage. En d'autres termes, il englobe tous les achats effectués dans les lieux d'échanges tels que les aéroports, les gares, ainsi que dans les moyens de transport tels que les vols ou les croisières.Le travelRetail est un marché qui a su attirer l'attention des voyageurs en exploitant diverses stratégies. En effet, le travelretail offre plusieurs opportunités. D’abord, c’est uneopportunité avantageuse: les clients voyageurs sont à la recherche de détaxe.De plus, les voyageurs en vacances désireux de se faire plaisir dès le début de leur périple dans une ambiance vacancière.Cette tendance crée l’urgence (fear of missing). Les voyageurs pressés qui ont oublié des éléments essentiels pour leur déplacement ou leur séjour. Enfin, les voyageurs en attente dans les lieux de transport, cherchant des activités telles que flâner dans les boutiques ou consulter les catalogues et ainsi faire passer le temps. Avant de voyager, les voyageurs ont besoin de s'informer sur les villes à visiter, c'est notamment la spécialité de Webaventures .
Le secteur du travelretailse trouve dans une période d'incertitude préoccupante en raison des fluctuations continues de l'économie mondiale. La baisse du pouvoir d'achat des consommateurs et les évolutions dans les habitudes de voyage présentent des défis significatifs.
L'émergence du commerce électronique et la digitalisation du commerce ont profondément modifié les comportements des consommateurs. Le travelretail, traditionnellement ancré dans les magasins physiques, doit désormais s'adapter à l'ère numérique en établissant une présence en ligne solide et en intégrant de manière harmonieuse les expériences en magasin.
Les voyageurs exigent désormais des points de vente du travelretail qu'ils adoptent des pratiques respectueuses de l'environnement. Les acteurs de l'industrie doivent jongler avec la complexité de sourcer des produits durables, de réduire les déchets et de promouvoir des initiatives écologiques.
Les préférences des consommateurs, en particulier parmi les jeunes générations, évoluent, nécessitant une adaptation des offres de voyages et des stratégies marketing. Comprendre et s'ajuster à ces changements est crucial pour maintenir la pertinence et la compétitivité dans le secteur du travelretail.
Le travelretail dépend étroitement de chaînes d'approvisionnement complexes impliquant la coordination de divers intervenants. Les perturbations mondiales, qu'elles soient causées par des catastrophes naturelles, des événements géopolitiques ou des crises sanitaires, peuvent entraîner des répercussions majeures sur le bon fonctionnement de ces chaînes.
Conseiller les multi-magasinssur la nécessité de revoir et de redéfinir leurs modèles d’affaires afin de s'aligner sur les dynamiques du marché actuel. Cela englobe la diversification des offres de produits, l'optimisation des stratégies tarifaires, et l'identification de nouvelles sources de revenus. Par exemple, les conseils stratégiques peuvent aider les magasins duty-free à optimiser leur gamme de produits, ajuster leurs stratégies tarifaires, et améliorer l'expérience client. Accompagner également dans la compréhension des réglementations complexes et l'adaptation aux évolutions du marché.
Les raisons pour lesquelles ces acteurs ont recours à des services de conseil varient, mais incluent généralement l'optimisation des revenus, l'amélioration de l'expérience client, l'adaptation aux réglementations locales et internationales, la gestion des opérations complexes, et la création de stratégies marketing efficaces adaptées au contexte spécifique du travelretail.
Guider les acteurs du travelretail dans l'adoption de la transformation digitale, le développement de plates-formes de e-commerce, et l'intégration des expériences en ligne et hors ligne est notre métier. Une approche omnicanale peut améliorer l'engagement et la satisfaction de la clientèle. Par exemple, les compagnies aériennes peuvent bénéficier de conseils pour maximiser les revenus du retailà bord, concevoir des programmes de fidélité attrayants, et établir des partenariats stratégiques avec des marques. De même, les marques de produits de luxe et autres fournisseurs de biens de consommation peuvent tirer profit de conseils pour optimiser leur présence en travelretail. Cela peut inclure la gestion des points de vente, le développement de campagnes publicitaires adaptées aux voyageurs, la gestion des assortiments de produits, et la négociation de contrats avec les distributeurs.
Faciliter le développement de systèmes de gestion de chaîne d'approvisionnement robustes et flexibles, notamment par la diversification des fournisseurs, l'adoption de technologies avancées, et la mise en place de plans de contingence.
En tirant parti de l'analyse de données, des informations précieuses sur le comportement des consommateurs peuvent être obtenues. Ces insights peuvent être utilisés pour ajuster les stratégies marketing, personnaliser les expériences client, et optimiser la gestion des stocks. Les opérateurs d'aéroports et de gares peuvent bénéficier de conseils pour analyser leur marché, optimiser la disposition des magasins, attirer des marques attractives, et créer des expériences de shopping répondant aux attentes des voyageurs.
Dans un contexte de défis majeurs pour le retail, le secteur du travelretail se trouve à un point culminant. Le conseil émerge comme un allié indispensable, offrant des solutions adaptées pour naviguer dans la complexité et l'incertitude. En adoptant des modèles d'affaires innovants, en exploitant la puissance de la transformation digitale, et en s'engageant dans des pratiques durables, les acteurs du travelretailpeuvent non seulement surmonter les obstacles, mais aussi prospérer dans le paysage en constante évolution du marché mondial.
Pour une expérience shopping pratique et moderne, découvrez le travelretail à l'aéroport de Lyon Saint-Exupéry, qui utilise le logiciel de caisse Clictill dans ses boutiques. Une solution efficace pour rendre votre passage à l'aéroport encore plus agréable.
La transformation digitale se réfère à l'incorporation de technologies et de solutions numériques dans tous les aspects d'une entreprise. Il englobe à la fois une mutation culturelle et technologique, exigeant une transformation fondamentale des opérations et de la manière dont l'entreprise offre des expériences et des avantages à sa clientèle. Les solutions numériques ont également le potentiel de renforcer les compétences du personnel et d'induire des changements dans les processus et le modèle économique.
L'importance de la transformation digitale dans le contexte économique actuel devient de plus en plus évidente à mesure que les années après 2020 progressent. Pour prospérer et rester compétitives face à leurs concurrents, les entreprises doivent entreprendre des actions visant à renforcer leur résilience, leur compétitivité et leur réactivité. Cette transformation implique le développement et la modernisation de leur environnement numérique, en débutant par les matières premières et les premiers maillons de la chaîne d'approvisionnement. De plus, il est essentiel de répondre rapidement aux demandes changeantes des clients en faveur de services et d'exécutions plus personnalisés, tout en modernisant les modèles économiques traditionnels et en stimulant l'innovation.
Selon la dernière enquête de McKinsey auprès de dirigeants d'entreprise, la pandémie a accentué l'urgence pour ces dirigeants de s'engager dans la transformation digitale et de moderniser leurs processus et systèmes existants. Un grand nombre de répondants reconnaissent que le modèle économique de leur entreprise est devenu obsolète, avec seulement 11 % estimant que leur modèle actuel restera économiquement viable jusqu'en 2023. En revanche, 64 % affirment que la création de nouvelles activités digitales est essentielle pour assurer la rentabilité de leur entreprise.
Pour les entreprises d'aujourd'hui, la question n'est plus de savoir si la digitalisation est nécessaire pour rester compétitives dans le contexte économique actuel, mais plutôt de déterminer le calendrier optimal pour entamer leur parcours de transformation digitale.
La transformation digitale impacte tous les niveaux et toutes les fonctions d'une entreprise moderne, fournissant des outils essentiels pour sa survie et son épanouissement. Voici quelques retombées potentielles de cette transformation :
Jusqu'à présent, de nombreuses entreprises évaluaient leurs performances de manière rétrospective, manuellement. Grâce à des systèmes ERP modernes et à une analyse avancée, les entreprises peuvent maintenant accéder en temps réel à des données et personnaliser des algorithmes puissants pour des décisions immédiates.
Les terminaux et machines d'un réseau IoT transmettent des données en continu, favorisant la maintenance prédictive et réduisant les temps d'arrêt. L'analyse avancée de ces données améliore l'efficacité et la productivité des workflows.
La personnalisation, l'accès omnicanal, les plans de service personnalisés et l'accès en temps réel aux données répondent aux attentes changeantes des clients, stimulant l'intérêt, la rétention et la fidélisation client.
La variabilité des demandes incite à l'innovation des modèles économiques. La collecte et l'analyse en temps réel des données, ainsi que le développement de processus automatisés, permettent de gérer de nouveaux modèles économiques, de paiement et de service.
La digitalisation des opérations et l'optimisation des services créent de nouveaux moyens de connexion, collaboration et rationalisation des stratégies de croissance via le développement de produits, l'optimisation de la rentabilité et l'attraction de nouveaux clients.
La transformation digitale offre des outils pour le développement rapide de nouveaux produits, une analyse prédictive pour anticiper les disruptions et la flexibilité nécessaire à l'innovation continue, sans devoir changer de fournisseur.
Les solutions d'ERP cloud exploitent des technologies de bases de données In-Memory, offrant une évolutivité qui facilite leur adaptation. Ces solutions agissent comme le "cerveau" de la transformation digitale, unifiant les processus essentiels de gestion d'une entreprise (finance, RH, production, chaîne logistique) au sein d'un seul système. Optimisé par des technologies d'IA, un ERP peut non seulement gérer et traiter le Big Data, mais aussi l'analyser de manière approfondie.
L'exploitation et la compréhension des données sont importantes pour générer de la valeur. L'analytique avancée, reposant sur des algorithmes d'IA et de Machine Learning, fournit des insights et des rapports détaillés, précis et exploitables. Les entreprises peuvent personnaliser les configurations d'analyse des données à la demande, permettant aux dirigeants d'agir rapidement et de manière éclairée en réponse aux opportunités ou aux risques.
Une infrastructure basée sur le cloud est essentielle pour réussir la transformation digitale et mettre en place des réseaux IoT et des systèmes d'entreprise connectés. L'accès centralisé et à la demande aux systèmes, actifs et données permet aux entreprises d'adapter rapidement l'infrastructure, de modifier ou d'automatiser les workflows. En 2021, près de 60 % des entreprises d'Amérique du Nord s'appuient sur des plateformes cloud, indiquant une adoption cinq fois plus importante qu'il y a cinq ans.
L'évolution du Big Data est étroitement liée à l'IA et au Machine Learning. Exploiter pleinement le Big Data nécessite l'utilisation de l'IA et du Machine Learning. Ces technologies nécessitent des ensembles de données étendus pour offrir un apprentissage et une analyse solides. Le partenariat entre Big Data, IA et analytique est au cœur de la transformation digitale, permettant une planification prédictive et une automatisation réactive.
JLRest créée en 2002 par 3 associés dans le but de proposer des solutions d’encaissement aux commerces de proximité non alimentaire.
Depuis 2016, JLR Distribution a émergé de la transformation digitale en élargissant ses activités. Initialement axée sur son rôle d'Entreprise de Services Numériques (ESN), JLR a évolué pour devenir un acteur du domaine de l'édition des logiciels avec son produit, Clictill.
La création de JLR Distribution s'inscrit dans une démarche proactive visant à répondre aux évolutions du marché induites par la transformation digitale. JLR a identifié une opportunité stratégique de fournir une solutiond'encaissementrépondant aux besoins spécifiques des multi-magasins.
En lançant Clictill, cela montre comment JLR a su tirer parti de la transformation digitale pour diversifier son portefeuille d'activités et répondre de manière proactive aux besoins changeants de ses clients.
Le commerce de détail est un secteur dynamique et concurrentiel, où la réussite repose souvent sur une approche commerciale solide. Dans cet article, nous explorerons les six objectifs clés de l'approche commerciale dans le commerce de détail, les principes à respecter pour les mettre en œuvre efficacement, ainsi que l'importance de l'approche macro-économique dans ce contexte.
Quels sont vos objectifs pour votre business ? Souhaitez-vous augmenter les ventes, fidéliser vos clients, ou développer votre activité ?
qui sont vos clients potentiels ? Quels sont leurs besoins et leurs attentes ?
quels produits ou services allez-vous proposer ? Comment allez-vous les différencier de la concurrence ?
Comment allez-vous faire connaître votre business ? Quels canaux de communication allez-vous utiliser ?
quel est votre budget ? Comment allez-vous financer votre business ?
Une fois que vous avez défini votre plan, vous pouvez commencer à le mettre en œuvre. Il est important de suivre vos résultats et de faire des ajustements si nécessaire.
Pour aller plus loin, vous pouvez accéder à notre livre blanc sur le sujet
Analyse SWOT (Force, Faiblesse, Opportunité, Menace) : Avant de mettre en œuvre une approche commerciale, effectuez une analyse approfondie de la situation de votre entreprise. Identifiez les forces sur lesquelles capitaliser, les faiblesses à améliorer, les opportunités à exploiter et les menaces à anticiper.
Formation du Personnel : Le personnel joue un rôle crucial dans la mise en œuvre réussie de toute stratégie commerciale. Assurez-vous que votre équipe est formée et informée des objectifs, des valeurs et des principes de votre approche commerciale.
Matériel pour sa boutique : Investissez dans du matériel qui peut améliorer l'efficacité opérationnelle, et l’aménagement de son point de vente.
Le client est au cœur du commerce de détail. Comment pouvez-vous rendre chaque interaction mémorable pour vos clients ? Quelles stratégies pouvez-vous mettre en place pour améliorer constamment leur expérience d’achat ? Pensez mobilité en magasin et parcours client. Aujourd’hui les technologies omnicanales sont essentielles pour rester compétitif : le Click and Collect par exemple.
La gestion des stocks est à prendre en compte dans le commerce de détail. Comment minimiser les ruptures de stock tout en évitant les excédents inutiles ? La réponse à cette question se trouve dans vos statistiques de vente. En cas de DLC proche, des techniques comme la mise en avant de certains produits à travers des PLV (Publicité sur le Lieu de Vente) ou encore des promotions peuvent vous aider à dynamiser vos roulements de stocks.
Comprendre les besoins et les préférences spécifiques des différents segments de votre marché cible est essentiel. Comment pouvez-vous adapter votre assortiment de produits et votre stratégie marketing pour répondre de manière ciblée à chaque segment ?
Analysez la concurrence et déterminez des stratégies de tarification compétitives. Comment pouvez-vous maximiser la valeur perçue par le client tout en restant concurrentiel sur le marché ?
Dans un monde de plus en plus connecté, l'intégration de canaux de vente multiples est devenue incontournable. Comment pouvez-vous offrir une expérience fluide, que le client achète en ligne, en magasin ou via d'autres canaux ? Des solutions existent et dépendent du choix de votre logiciel de caisse
La fidélisation est souvent plus rentable que l'acquisition de nouveaux clients. Quelles stratégies pouvez-vous mettre en place pour fidéliser vos clients, les inciter à revenir et à recommander votre enseigne ? Mettez en place des cartes de fidélités, des formules 2+1 (2 achetés, 1 offert) des soldes ou autres évènements temporaires qui poussent la FOMO (Fear Of Missing Out) de vos clients.
L'approche macro-économique consiste à prendre en compte les facteurs économiques à grande échelle qui peuvent influencer le commerce de détail. Cela inclut les tendances économiques, les taux d'intérêt, l'inflation, le pouvoir d'achat des consommateurs et les politiques gouvernementales.
Il est essentiel de rester informé sur ces éléments et d'ajuster votre approche commerciale en conséquence. Une compréhension approfondie de l'environnement économique peut vous aider à anticiper les changements, à atténuer les risques et à capitaliser sur les opportunités émergentes.
Le commerce de gros et le commerce de détail sont deux formes de commerce intervenant dans la chaîne d'approvisionnement. Mais ils s'opposent par des différences significatives :
La cible : le commerce de gros s'adresse à des professionnels, alors que le retail est à destination directe du client particulier final.
Les quantités vendues : le commerce de gros vend en grande quantité alors que le commerce de détail en petite quantité ou en petits lots. Le volume de transaction d'un commerce de gros est donc plus important que celui d'un commerce de détail.
Le prix : dans le commerce de gros, les marchandises sont vendues à un prix relativement bas, en raison d'une plus petite marge bénéficiaire. Dans le retail, elles sont proposées à un prix plus élevé, comprenant une plus grosse marge, les coûts publicitaires et les frais annexes du commerce.
Un logiciel d'encaissement est un outil indispensable pour tout commerce de détail. Il permet de gérer les ventes, les stocks, les paiements, et bien d'autres choses encore.
Un logiciel de caisse vous permettra de :
Gérer les ventes de manière fluide et efficace
Suivre vos stocks en temps réel
Accepter différents modes de paiement
Générer des rapports détaillés sur votre activité
Lors du choix d'une caisse enregistreuse, il est important de prendre en compte les besoins spécifiques de votre commerce.
La taille de votre commerce
Le type de produits ou services que vous proposez
Le nombre de transactions que vous effectuez quotidiennement
Votre budget
Il existe de nombreux logiciels d'encaissement sur le marché, proposés par des éditeurs variés.
Choisissez une caisse enregistreuse omnicanale et intuitive, avec Clictill.
Après le guide sur le commerce de détail, voici notre guide sur le commerce alimentaire. Un commerce alimentaire est un établissement qui vend des produits alimentaires à destination des consommateurs. Il peut s'agir d'une épicerie, d'un supermarché, d'un hypermarché, d'un magasin bio, d'un restaurant, d'une boulangerie, d'une pâtisserie, d'une boucherie, d'une poissonnerie, etc.
Les commerces alimentaires sont soumis à une réglementation stricte en matière d'hygiène et de sécurité alimentaire. Cette réglementation est définie par le Code de la santé publique, et le Code rural et de la pêche maritime.
Les locaux doivent être propres et bien entretenus.
Les produits doivent être stockés dans des conditions adaptées.
Les produits doivent être manipulés et préparés avec soin.
Le personnel doit être formé aux règles d'hygiène alimentaire.
Les grandes surfaces alimentaires : ce sont des commerces de grande taille, situés en périphérie des villes. Ils proposent une gamme de produits alimentaires très large, à des prix compétitifs.
Les commerces de produits frais : ce sont des commerces qui proposent des produits frais, tels que des fruits, des légumes, de la viande, du poisson, etc.
Les commerces de produits secs : ce sont des commerces qui proposent des produits secs, tels que des pâtes, du riz, des conserves, etc.
Les commerces de produits surgelés : ce sont des commerces qui proposent des produits surgelés.
L'indépendance offre une grande liberté de choix, notamment en termes de produits proposés, de prix et de marketing. Cependant, elle nécessite une bonne connaissance du secteur et une capacité à gérer un commerce de manière autonome, de créer toute une image de marque forte et de potentiellement avoir plus d’effort à faire en termes de marketing et de communication
La franchise permet de bénéficier de l'expérience et de la notoriété d'une marque déjà établie. Elle offre également un cadre juridique et des outils de gestion qui peuvent être utiles aux entrepreneurs débutants. Cependant, la franchise implique de respecter les conditions imposées par le franchiseur, notamment en termes de produits proposés, de prix et de marketing.
Avant d'ouvrir un commerce alimentaire, il est important de réaliser une étude de marché afin de s'assurer de la viabilité de son projet. L'étude de marché doit permettre de répondre aux questions suivantes :
Quel est le potentiel de marché ?
Quelle est la concurrence ?
Quels sont les besoins des consommateurs ?
Pour répondre à ces questions, un guide a été fait à ce sujet.
Une description du projet
Une analyse de marché
Une stratégie marketing
Une étude financière
Le choix du local
Le choix du local est un facteur important de réussite pour un commerce alimentaire. Le local doit être bien situé, de taille adaptée et répondre aux normes d'hygiène et de sécurité.
Pour réussir votre business plan, n’hésitez pas à consulter ceguide qui a été fait à ce sujet.
La création d'un site e-commerce peut être un atout pour un commerce alimentaire. En effet, elle permet de toucher une clientèle plus large et de proposer des services supplémentaires, tels que la livraison à domicile.
La création d'un commerce alimentaire nécessite un investissement financier important. Il est donc important de prévoir le financement de son projet avant de se lancer.
Consultez ce guide, afin de connaitre toutes les étapes pour la création de votre site.
Les fonds propres
Les prêts bancaires
Les aides publiques
Consultez ce guide, pour plus de détails.
Les statuts juridiques pour un commerce alimentaire
L'entreprise individuelle
La société à responsabilité limitée (SARL)
La société par actions simplifiée (SAS)
L'entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL)
La société anonyme (SA)
Constituer une entreprise
Obtenir les autorisations administratives nécessaires
Effectuer les déclarations fiscales et sociales
La première étape consiste à choisir le statut juridique de votre entreprise. Il existe plusieurs statuts juridiques possibles, chacun ayant ses propres avantages et inconvénients. Les statuts juridiques les plus courants sont l'entreprise individuelle, la société à responsabilité limitée (SARL), la société par actions simplifiée (SAS) et la société anonyme (SA).
Une fois que vous avez choisi le statut juridique de votre entreprise, vous devez rédiger ses statuts. Les statuts sont un document juridique qui définit les règles de fonctionnement de l'entreprise. Ils doivent être signés par tous les associés ou actionnaires de l'entreprise.
Chaque entreprise doit avoir un ou plusieurs dirigeants. Les dirigeants sont responsables de la gestion de l'entreprise. Ils peuvent être des personnes physiques ou des personnes morales.
L'avis de constitution est un document qui informe le public de la création de votre entreprise. Il doit être publié dans un journal d'annonces légales.
Une fois que vous avez réalisé toutes les formalités précédentes, vous devez déposer un dossier d'immatriculation auprès du centre de formalités des entreprises (CFE) compétent. Le CFE est un guichet unique qui s'occupe de toutes les formalités administratives liées à la création d'une entreprise.
Pour protéger sa marque, il est possible de la déposer auprès de l'Institut national de la propriété industrielle (INPI). La marque déposée est protégée pendant 10 ans et peut être renouvelée indéfiniment.
Pour déposer une demande d'enregistrement de marque en ligne, il faut se rendre sur le site internet de l'INPI. Vous pouvez créer un compte ou vous connecter si vous avez déjà un compte.
Une fois que vous êtes connecté, vous devez remplir un formulaire de demande d'enregistrement de marque. Ce formulaire vous demande de fournir les informations suivantes :
La dénomination de la marque
Les classes de produits ou de services couverts par la marque
Les éléments graphiques de la marque, le cas échéant
Vous devez également payer les frais de dépôt de la demande.
Pour déposer une demande d'enregistrement de marque par courrier, vous devez remplir un formulaire de demande d'enregistrement de marque disponible sur le site internet de l'INPI. Vous devez également joindre à votre demande les pièces suivantes :
Un exemplaire de la marque, en couleur ou en noir et blanc
Une copie de votre pièce d'identité ou de votre extrait Kbis
Un chèque ou un mandat postal à l'ordre de l'INPI.
Frais de dépôt
Les frais de dépôt d'une demande d'enregistrement de marque sont de 190 € pour les marques de produits ou de services, et de 130 € pour les marques de services uniquement.
Une fois que votre demande a été déposée, elle est examinée par l'INPI. L'INPI vérifie si la marque est disponible, si elle n'est pas contraire à l'ordre public ou aux bonnes mœurs, et si elle ne porte pas atteinte à des droits antérieurs.
Si la demande est acceptée, l'INPI délivre un certificat d'enregistrement de marque.
L'enregistrement d'une marque est valable pour 10 ans. Il peut être renouvelé indéfiniment.
L'enregistrement d'une marque vous donne le droit exclusif d'utiliser la marque pour les produits ou services couverts par l'enregistrement. Vous pouvez donc interdire à toute autre personne d'utiliser la marque sans votre accord.
Une fois votre boutique ouverte, il faudra choisir une caisse enregistreuse. N’hésitez pas à consulter notre guide sur les meilleurs logiciels de caisse.
Les logiciels SaaS, ou logiciels en tant que service, sont des applications logicielles accessibles via internet. Les utilisateurs n'ont pas besoin de les installer sur leur ordinateur, mais se connectent simplement à une page web avec leurs identifiants. Les frais d'utilisation sont généralement facturés sous forme d'abonnement.
Les solutions SaaS présentent de nombreux avantages pour lesmulti-magasins, notamment en termes de flexibilité, de technique, de sécurité et de finances.
Accessibles de partout : les solutions SaaS sont accessibles depuis n'importe quel appareil connecté à internet. Cela permet aux employés de travailler à distance ou de collaborer avec des partenaires en dehors de l'entreprise.
Multi-appareils : de nombreuses solutions SaaSproposent des applications mobiles, ce qui permet aux utilisateurs de travailler depuis leur smartphone ou leur tablette.
Pas d'installation : les solutions SaaS sont hébergées sur des serveurs distants, ce qui n'impose pas aux multi-magasins d'installer de logiciel sur leurs propres serveurs.
Mises à jour automatiques : les fournisseurs de solutions SaaS se chargent des mises à jour, ce qui permet aux utilisateurs de bénéficier des dernières fonctionnalités et correctifs sans avoir à les installer manuellement.
Version unique : tous les utilisateurs d'une solution SaaS utilisent la même version du logiciel, ce qui facilite la collaboration et la coordination des équipes.
Contrôle des accès : les fournisseurs de solutions SaaS proposent généralement des mécanismes de contrôle des accès qui permettent de limiter l'accès aux données aux utilisateurs autorisés.
Gestion des utilisateurs : il est facile d'ajouter ou de supprimer des utilisateurs d'une solution SaaS, ce qui permet aux entreprises de s'adapter à leurs besoins.
Protection des données : les fournisseurs de solutions SaaS s'engagent généralement à respecter les normes de protection des données.
Coûts réduits : les solutions SaaS offrent un modèle économique plus rentable que les logiciels traditionnels. Les entreprises n'ont pas à investir dans des infrastructures informatiques et ne payent que pour les services dont elles ont besoin.
Fiscalité : les solutions SaaS sont généralement considérées comme des charges de fonctionnement, ce qui permet aux entreprises de déduire leur coût de leur résultat fiscal.
Les solutions SaaS présentent de nombreux avantages, mais elles comportent également quelques inconvénients à prendre en compte.
Les solutions SaaS sont accessibles via internet, ce qui signifie qu'une connexion internet est nécessaire pour les utiliser. En cas de panne ou de mauvaise connexion, les utilisateurs ne pourront pas accéder aux applications. Sauf avec Clictill, le logiciel de caisse SaaS est disponible en mode off-line.
L'éditeur de logiciel enservice SaaS est responsable de l'hébergement des données et de la maintenance des applications. Si le fournisseur fait faillite ou rencontre des difficultés, l'entreprise peut perdre l'accès à ses données et à ses applications.
Les utilisateurs des solutions SaaS doivent être conscients des risques de sécurité associés à l'utilisation d'un logiciel hébergé sur des serveurs distants. Les employés peuvent utiliser les applications sur leur téléphone ou sur des réseaux non protégés, ce qui augmente le risque de fuite de données.
L'éditeur de logiciel en service SaaS décide de l'emplacement des serveurs sur lesquels sont stockées les données des utilisateurs. L'entreprise cliente peut se retrouver avec des données stockées dans un pays qui ne respecte pas ses obligations en matière de protection des données.
Les solutions SaaS sont souvent spécialisées dans un domaine spécifique, ce qui oblige les entreprises à utiliser plusieurs plateformes pour répondre à leurs besoins. Cela peut entraîner une complexité et un coût supplémentaires.
Le choix d'un éditeur de solution SaaS spécial logiciel de caisse est une décision importante pour toutmutli-magasin qui souhaite se doter d'une solution de gestion de ses ventes. En effet, le logiciel de caisse est un outil indispensable pour toute activité commerciale, car il permet de gérer les transactions, les stocks, les clients et les finances.
Il existe de nombreux éditeurs de solutions SaaS spécialisés dans le logiciel de caisse, ce qui peut rendre le choix difficile. Pour bien choisir son éditeur, il est important de prendre en compte plusieurs critères, notamment :
Les fonctionnalités du logiciel : il est important de choisir un logiciel qui propose les fonctionnalités dont votre multi-magasina besoin. Les fonctionnalités les plus courantes d'un logiciel de caisse comprennent la gestion des transactions, la gestion des stocks, la gestion des clients, la gestion des finances, la gestion des promotions et la gestion des rapports.
L'interface utilisateur : l'interface utilisateur est l'élément avec lequel les utilisateurs du logiciel interagiront le plus. Il est important de choisir un logiciel avec une interface intuitive et facile à utiliser.
La sécurité : la sécurité des données est un élément important à prendre en compte. Il est important de choisir un logiciel qui propose des fonctionnalités de sécurité avancées, telles que le cryptage des données et l'authentification à deux facteurs.
L'évolutivité : il est important de choisir un logiciel qui puisse s'adapter à la croissance de vos magasins. Il est donc important de choisir un logiciel qui soit évolutif, c'est-à-dire qu'il puisse être mis à jour pour ajouter de nouvelles fonctionnalités ou pour augmenter le nombre d'utilisateurs.
Le coût : le coût d'un logiciel de caisse SaaS varie en fonction des fonctionnalités proposées, de l'éditeur et du nombre d'utilisateurs. Il est important de comparer les prix des différents éditeurs avant de faire votre choix.
En plus de ces critères, il est également important de prendre en compte les besoins spécifiques de votre mutli-magasin. Pour vous aider à choisir votre éditeur de solution SaaS spécial logiciel de caisse, vous pouvez effectuer des recherches en ligne, lire des avis clients et demander des devis à plusieurs éditeurs ou consulter notre guide complet. Vous pouvez également assister à des démonstrations des différents logiciels pour vous faire une idée de leurs fonctionnalités et de leur interface utilisateur.
Enfin, vérifiez la réputation de l'éditeur : assurez-vous que l'éditeur est fiable et qu'il jouit d’une bonne réputation. Vous pouvez consulter les avis clients en ligne et les forums spécialisés.
Et assurez-vous que l'éditeur est certifié : certains éditeurs sont certifiés par des organismes indépendants, ce qui est un gage de qualité. Par exemple, le logiciel de caisse Clictill, est certifié NF525 par l’Anafor.
La définition minimaliste de la démarque inconnue porte sur le différentiel qui peut exister entre le stock théorique de marchandises et le stock réel. Elle s'oppose à la démarque connue qui identifie clairement la cause de la sortie de marchandise des stocks existants comme la casse par exemple.
La réalité est plus brutale, Le terme porte essentiellement sur le vol en magasin, principale cause de la démarque inconnue devant les erreurs administratives et la casse non déclarée.
Plus précisément il s'agit du vol d'argent et du détournement de marchandises commis par les salariés en boutique, qui sont responsables de 70% des délits constatés, avant les clients eux-mêmes.
Pour lutter contre ce fléau qui peut mettre en péril l'existence même de certains commerces à la rentabilité faible, plusieurs mesures peuvent être prises dont la plus visible dans les boutiques sont les technologies de surveillance (caméras et personnel de sécurité pour l'essentiel). L'autre, et peut-être première action, consiste à s'équiper de logiciels de gestion de magasin.
«Les salariés en boutique sont responsables de 70% des délits constatés »
Le logiciel d'encaissement, comme XL POS par exemple, vous apporte une traçabilité des opérations d'encaissement et de décaissement en magasin. Les tickets de caisse vous donnent l'heure, le montant, le nom du responsable de l'opération que vous souhaitez vérifier, informations qui une fois couplées avec la vidéo du magasin apporteront la preuve ou non du dol. Dans la partie back-office, actualisée si vous le souhaitez en temps réel, vous pouvez gérer fournisseurs, la réception des marchandises, le référentiel article, bref alimenter la base de données de votre stock théorique. Là encore, les outils d'analyse, la traçabilité des opérations données par le système informatique contribueront à réduire les risques de la démarque inconnue.
Vous l'avez compris, les contre-mesures de la lutte contre la démarque inconnue passent par différents investissements dont le matériel de vidéo surveillance en magasin n'est qu'un élément parmi d'autres avec une solution de point de vente.
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